Type de personnage : Principal.
Âge : Inconnu, mais il semble être un vampire de neuvième génération.
Archétype : Vampire.
Métier : Szordrin est un érudit. Il a souvent exercé en qualité de conseiller pour des personnalités politiques, des organisations ou des gouvernements. Ses qualités d’orateur et ses connaissances en géopolitique ont fait de lui un atout précieux de la maison Draken quelques décennies auparavant. Depuis, il officie pour des maisons nobles sombres.
Compétences :
- Combat : Grâce à l’entraînement obligatoire qu’il a suivi dès sa plus tendre enfance, il sait se servir d’une dague, qu’il dissimule généralement dans l’une de ses bottes ou à l’arrière de sa ceinture. Il pourrait également tirer à l’arc mais ses compétences en la matière sont moindres, et sa précision n’est plus aussi bonne que dans sa jeunesse.
- Magie : Szordrin excelle dans l’art de la magie noire, et notamment dans l’invocation d’esprits. Les serviteurs magiques à ses ordres le protègent et font de lui une cible parfois difficile à atteindre.
Alignement : Il oscille entre tantôt un alignement neutre, pensant que l’équilibre des choses est la seule solution sur le long terme, tâchant de rester détaché de l’histoire du monde en se plaçant comme médiateur, tantôt un alignement chaotique neutre, accordant une immense valeur à sa liberté mais ne se sentant pas concerné par la défense de celle d’autrui, sauf si une telle position peut défendre ses propres intérêts.
Maison-famille : Aucune.
Clan : Aucun.
Situation financière : Au fil des années, ses missions lui ont parfois rapporté gros. Il n’a pas à se plaindre.
Caractère : Le quidam est une personnalité complexe aux multiples facettes et il est parfois bien difficile d’évaluer ce qu’il ressent réellement. Il semble souvent paré d’une armure de glace et d’un voile impénétrable empêchant quiconque de se sentir proche de lui. Il n’est toutefois pas un personnage imbuvable incapable de sentiment : il est un homme charmant, adepte des petites discussions et doté d’un verbe haut. Il apprécie à la fois le calme de sa bibliothèque personnelle et le tumulte de la ville où il observe badauds et bourgeois aller et venir. S’il a des pensées politiques plutôt libérales, il respecte toutefois la structure sociétale et la discipline militaire. Cynique, il a le verbe cinglant, et ses lèvres s’étirent souvent en un sourire à la fois charmant et méprisant. Il accorde une certaine importance à la vie d’autrui, et déteste quand elles sont sacrifiées sans intérêt. Loyal, estimant la parole donnée, il est un ami sur lequel on peut compter – ces occasions se font toutefois rares, détestant être redevable de quelqu’un.
Type d’éducation reçue : Szordrin a reçu une éducation religieuse et magique stricte au sein d’un couvent shileniste.
Pensée politique : De penchant libéraliste et progressiste, il n’hésite cependant pas à prêcher d’autres formes de doctrine politique auprès de certains dirigeants, prônant la conservation d’un équilibre juste entre le bien et le mal.
Croyance : Shileniste.
Préjugés : Au-delà de son opinion et de ses ressentis personnels, Szordrin considère que chacun de ces peuples est utile au monde actuel, dans leur justesse et leur imperfection. S’il devait les classer par ordre de préférence, les elfes prendraient assurément la dernière place. Les siens ont sa préférence, suivis des orcs et des nains. Il se méfie des humains, dont les ambitions guerrières de conquête ont mis à mal l’équilibre des forces par le passé. Il reste indifférent face aux kamaels et aux artheias.