L2Dynasties

Nom : - inconue pour l'instant-
Prénom : Ronce
Surnom :
Parents : - inconue pour l'instant-
Titre :

Sexe : Femme
Race : Humaine

Langues parlées : Commun, Orc

Description physique :
Elle avait les cheveux court et d’un blond léger parsemé de mèche tirant sur le rosé. La peau dorée par le soleil, elle était large d’épaule comme le reste de sa musculature, bien que plus fine qu’un nain ou un orc, on pouvait voir une musculature forte, rare pour une humaine, cela était due aux nombreuses années à se battre aux côtés de ses anciens compagnons.
Portant une armure de plate à certains endroits ouverts, protégeant les points vitaux de son anatomie, mais lui lissant une très grande liberté dans les mouvements qu’elle pourrait vouloir faire. Elle possède également une épée plus grande qu’elle, celle-ci, ainsi que son armure, étaient des vestiges du passé qu’elle semble chérir plus que tout.
Elle porte son épée accrochée à son dos, mais le plus souvent elle préfèrera la poser près d’elle, bien qu’extrêmement lourde elle a au fil du temps réussi à s’en accommoder, on voit à sa démarche qu’elle n’est pas aussi gracieuse que ses congénères, ni aussi agile, mais elle possède une force et une résilience que l’on ne peut lui ôter.
Son visage, bien que féminin et d’une grande beauté, possède des traits durs qui peuvent, au premier abord, paraître froid. Son petit nez droit et fin, qui n’a semble-t-il jamais été cassé encore, est réhaussé par deux grands yeux bleu en amandes. De fin sourcilles blond finissent de compléter son regard.
Sa bouche cependant est loin d’être à l’image du reste de son visage, ses lèvres gercés, et parfois ouverte suite à des coups reçus dénotent complètement de son regard chaud et perçant. Elle a quelques dents cassées, certaines ont été réparé, mais d’autre comme deux molaires et une prémolaire resteront manquante, sa diction ne semble pas affectée par ses dents en moins et même si quand elle parle il n’y a rien de mélodieux, ni de doux, on comprend toujours distinctement ce qu’elle souhaite exprimer.

Comportement social :
N’a aucun mal a communiquer avec les gens, elle les respecte s’ils l’a respectent


Type de personnage : Main
Age : 25 ans
Archétype : aucun
Métier : Aubergiste
Compétences : Guerrière Berserk, Guerrière martial
- Combat : Epée & bouclier, armes à deux mains, double lames, Dagues, Fleurets.
- Magie : Notion primaire, elle l’utilise par reflexe, mais ne sait pas vraiment la maitriser.

Alignement : Loyal neutre
Maison-famille : -inconnue pour l'instant-
Clan :


Situation financière : Elle touche sa solde et place son argent en banque quand elle n’en a pas besoin
Caractère :

Ronce est un soldat, une guerrière, entrainé par les différents mentors qu’elle a connu au cœur de sa vie, ceux-là même, lui ont appris tout ce qu’ils savaient.
Elle est dur, avec elle-même mais aussi avec les autres. Elle ne se laisse pas faire par ses pairs mais respecte la hiérarchie. Quiconque la prendrait de haut alors qu’il n’en possède nullement l’autorité, aurait affaire à elle, même si le rapport de force est en sa défaveur.
Elle respect la loi et l’ordre, car la loi et l’ordre protège son mode de vie.
De par son éducation militaire et spartiate, Ronce n’est pas doué pour tout ce qui touche au beau monde et à l’étiquette des nobles.

Type d’éducation reçue : Militaire, Spartiate
Pensée politique : aucune

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Croyances : Respecte les dieux et tous ceux qui pourront la protéger au combat
Préjugés : Apprécie toutes les races.

BG Validé

- Plus haute ton arme et tes pieds doivent être plus stable.

La sueur perlait sur mon visage.

- Et frappe, te contente pas de l’caresser.

Mes muscles étaient en feu, j’avais de plus en plus de mal.

- Plus haute ton arme j’ai dit.

Cette foutu rengaine, cette foutu épée d’entrainement et ce foutu mannequin.

- Tes hanches. Tourne tes hanches quand tu fais le mouvement.

Je frappe et je sens la vibration jusque dans mes os.

- Aller encore, fait moi cent mouvements de plus.

Et tu continues… J’aimerai que tu sois à la place de ce poteau en bois et que ce soit toi que je frappe cent fois de plus.

- Plus vite.

Tu me dis ça depuis des heures maintenant.

- Plus fort.

Mais j’en ai plus la force

- Tes jambes.

Je ne les sens plus.

- Bras souples et posture solide.

Jusqu’à quand je vais devoir subir ça, tu veux me briser ?

- Soit plus précise, on dirait une enfant de quatre ans qui joue avec un bâton.

Je participée à de nombreuses batailles et tu continues à me traiter comme une gamine.

- Le soleil n’est pas encore couché, on continue.

Je croyais qu’il n’en restait que cent…

- Si tu abandonnes maintenant tu peux dire adieu à la vie.

Je peux dire adieu à la vie si je continue gros tas de muscle.

- L’ennemie ne te fera jamais de cadeau.

Parce que toi oui peut être ?

- Encore cent.

Le soleil vient de se coucher gros enfoiré.

- Ta posture.

Ta posture mon cul.

- Aller c’est tout pour aujourd’hui, va te reposer on reprend à l’aube.

Connard.

- … !

Tout est flou… tout tourne, un bruit assourdissant empli mes oreilles, je n’entends rien autour de moi mais tout semble vaciller sans raison.
Qu’est-ce que je fais ici déjà ?

-Bwo… !

Je le vois parler, je sais qu’il essaie de me relever. Pourquoi suis-je par terre déjà.

Le flou s’estompe peu à peu. Je recommence à voir, les soldats, le sang, ils se battent autour de moi.

Pourquoi ?

- BOUGE !

Je l’entends hurler et j’essaie de suivre ses ordres mécaniquement, j’ai du mal.

Ils se battent, s’entretue et je me souviens, on s’est fait prendre en embuscade. Encore un coup de l’ire et je me suis pris un mauvais coup

- Aller on n’a pas le temps on doit se mettre à couvert dans la forêt, on récupèrera l’avantage.

Je le vois se retourner et je le suis.








J’ai froid.

- Tu nous a fait peur.

J’ai peur.

- J’ai cru que tu étais morte au moment où t’as reçu ce truc noir en toi.

Ce truc noir ? je ne comprends pas, explique-moi. Je n’ai rien en moi.

- La magie sombre fait des dégâts terribles, mais on dirait que tu n’as rien.

Je suis normal.

- En tout cas on s’en est sortie sans trop de perte cette fois

Ils nous prendront tous.

- On les aura tous un jour ou l’autre.

Ils sont trop nombreux.

- J’ai un plan.

Partir loin d’ici

- Mais pour l’heure, reposons-nous, restez sur vos gardes, ces fils de putes ne resterons pas sans rien faire.

Reste avec moi.








Au début ça ressemble à un cauchemar.

Un de plus dans lequel j’arpente un sentier tortueux dans une ville déformé.

J’ai déjà rêvé de ce chemin auparavant. J’ai vu les terreurs auxquelles il mène.

Mais je n’arrête jamais de marcher.

A chaque fois je me dis que ça sera différent.

Mais ça ne l’est pas, il est toujours là, elle me regarde de son sourire, mais je ne les vois pas

Il me parle.

- Tu n’es pas seul

Je l’entends

- Je me sens seul

Je ne t’aiderai pas

- j’ai besoin de toi

Il n’a pas besoin de moi et je n’ai pas non plus besoin d’elle

- Un jour nous serons ensemble.

Et je tombe…





Il fait sombre, beaucoup trop sombre. Aucun son ne parvient à mes oreilles. Aucune lumière ne parvient jusqu’à mes yeux.

Pourtant, je la vois, je le sens, je les entends…

- Pourquoi restes-tu là ?

Va-t’en. Je ne veux pas vous voir.

Ça ne sert à rien, il ne bouge pas.

- Lève toi, tu es plus forte que ça

Il a sa voix, il lui ressemble, son ton, sa présence chaude et rassurante. Et pourtant je frissonne.

- Tu devrais nous suivre on sera là pour toi.

Il a encore changé, mais je sais qui il est. Un ami, un de mes plus proches.

- j’ai tant de chose à te montrer

Et je le crois, mais je ne veux pas voir.

Elle est toujours là.

Elle m’observe, immobile, je ne le vois pas, mais je sens leurs présences, toujours à m’observer à attendre que je vienne vers eux.






… Et je tombe encore.

Le spectre me suit, il est derrière moi, il me rattrape.

- Ne cours pas

Je cours

Mais cette fuite est futile, je le sais et elle aussi. Elle est dans mon ombre, dans la nuit. Il apparait à la limite de mon champ de vision.

Il ne se dévoile pas, elle n’a pas peur, mais elle est là.

Il comprend ce que je ressens. Elle souhaite que je m’adonne à lui, que je me libère.

Mais si je fais ça, je ne pourrais jamais revenir en arrière. Je ne veux pas les perdre. Je ne sais pas s’ils resteront si je le suis elle.

Je pleure et je suis terrifié à l’idée que ça arrive.

Mes larmes ne s’arrêtent plus.

Je sens leur présence.

Sa main spectrale touche mon dos et glace mes veines.

- Nous t’aiderons.

Je frissonne, mes souvenirs tentent de me retenir, ils sont mon passé, mon histoire, ils définissent qui je suis, je ne veux pas être personne, je ne veux pas la suivre.
Mon corps ne bouge plus, il s’abandonne à lui, seul mes souvenirs résistent.

- Ils ne t’aideront pas.

Je ne veux pas les perdre.

- Ils ne sont plus là.

Je ne veux pas.

Mais il est trop tard.

- Libère toi.

Le spectre est là, il m’embrasse de son étreinte et je me glisse en lui comme dans un lac. C’est à la foi étouffant et glacial. Mais il me protège et il m’aide.

- Je suis là pour toi.

J’ai peur… Extrêmement peur…

- Désormais nous ne sommes qu’un.

Je vous en supplie, que quelqu’un m’aide…